LES CÉPHALÉES

LES CÉPHALÉES

MAUX DE TÊTE ET DOULEURS DE LA FACE
I. LA PERSONNE SE DÉFINIT ELLE-MÊME COMME MIGRAINEUSE
II. LE PATIENT N'EST PAS HABITU ÉAUX MAUX DE TÊTE

MAUX DE TÊTE ET DOULEURS DE LA FACE

Les céphalées sont l'un des premiers motifs qui amènent à consulter un médecin. Leurs causes peuvent être extrêmement diverses, et correspondent à tous les degrés de gravité. Elles demeurent la plupart du temps tout à fait bénignes. Une première distinction sépare les céphalées survenant chez une personne habituée depuis longtemps à souffrir de céphalées, de celles qui apparaissent brutalement, chez une personne qui ne souffre habituellement pas de maux de tête, et chez qui ce symptôme revêt un caractère inhabituel. Dans le premier cas, on distinguera les céphalées paroxystiques - qui voient se succéder plusieurs crises dont la durée va de quelques minutes à quelques heures, séparées par des périodes parfois longues durant lesquelles la patient ne souffre pas - des céphalées continues. Dans le cas de céphalées continues, la personne se plaint, peu ou prou, de maux de tête incessants.
Dans tous les cas, l'analyse de la douleur elle-même, des symptômes s'y associant, et du contexte dans lequel elle survient, permettent d'établir un diagnostic fiable.

I. LA PERSONNE SE DÉFINIT ELLE-MÊME COMME MIGRAINEUSE.

Les maux de tête lui sont un désagrément familier.
• La céphalée n'affecte pas un migraineux, reportez-vous au paragraphe II.
A. Les céphalées sont paroxystiques : elles se manifestent sous la forme de plusieurs crises séparées par des intervalles de temps assez longs durant lesquels le symptôme disparaît.
• Les céphalées sont continues, reportez-vous au paragraphe B.

Selon la durée des maux de tête, on distingue trois causes essentielles :

1. Les crises durent plusieurs heures : les maux de tête apparaissent dès le matin, la douleur s'accentue progressivement et disparaît dans la journée. Si, de plus, la céphalée est ressentie de façon unilatérale, ce qui veut dire qu'elle n'affecte qu'un seul côté du crâne, et qu'elle est pulsatile : la douleur donne l'impression de coups répétés, le diagnostic est probablement celui d'une migraine proprement dite.

2. Les crises durent entre une demi-heure et une heure. Les douleurs sont accompagnées de larmoiements et de rougeurs de l'œil. Elles se répètent une ou deux fois dans une journée, chez un homme de préférence : il s'agit vraisemblablement d'une algie vasculaire de la face.

3. La douleur ne dure que quelques secondes et se répète plusieurs fois de façon rapprochée, « en salves » : il s'agit probablement d'une névralgie du nerf trijumeau.

Cette douleur est précisément localisée au niveau du territoire d'innervation du nerf trijumeau (lèvres, nez, front). On pourra suspecter et découvrir à partir de ce type de céphalée :
- une sclérose en plaque
- un zona
- un neurinome, ou tumeur nerveuse, si la douleur est constante.

4. Les céphalées paroxystiques peuvent se manifester :
- lors d'efforts intenses
- lors des relations sexuelles
- en même temps qu'une toux
- sous l'effet d'un froid intense.

Elles sont dans la grande majorité des cas sans gravité, mais il faut envisager un scanner cérébral de contrôle ( index, Examens complémentaires), pour éliminer la suspicion d'une cause sérieuse (tumeurs cérébrales en particulier).
B. Les céphalées sont continues, incessantes.

1. Ce mal de tête a une origine oculaire : le glaucome chronique ou les différents types de strabisme.

2. Les sinusites chroniques provoquent des maux de tête.

3. Le syndrome de Costen (mauvais fonctionnement de l'articulation de la mâchoire) peut aussi être à l'origine de cette céphalée.

4. Une arthrose, une infection (spondylodiscites) ou des tumeurs localisées au niveau des vertèbres cervicales peuvent être liés à des céphalées.

5. Si la personne présente des vomissements, une obnubilation (elle ne sait plus où elle est, a perdu la notion de temps), on pense à une hypertension intracrânienne, qui peut elle-même être due à :
- une tumeur
- un accident vasculaire cérébral
- un abcès cérébral.

6. Après un traumatisme crânien si la personne ressent une fatigue anormale, une instabilité, une insomnie et des troubles de la mémoire, alors que l'examen pratiqué par le médecin ne révèle rien d'anormal, il s'agit probablement d'un syndrome subjectif des traumatisés du crâne.

7. Si ces céphalées sont ressenties comme des brûlures ou un étau, continues et s'accentuant le soir, souvent localisées à la nuque, il s'agit vraisemblablement de céphalées psychogènes ou « de tension ».
Elles sont dues à :
- une anxiété
- un état dépressif ( index, Dépression)
- un état hystérique ( index, Hystérie) - une simple tension nerveuse passagère ( index, Stress).

8. D'autres causes peuvent être retrouvées :
- hypertension artérielle
- intoxication par l'oxyde de carbone, des colles, des solvants ou certains médicaments, pris régulièrement.

II. LE PATIENT N'EST PAS HABITUÉ AUX MAUX DE TÊTE.

Les céphalées sont d'apparition récente.

A. On recherche tout d'abord une nuque raide et particulièrement douloureuse, le malade ne peut regarder la lumière et souffre de vomissements.

On est alors en présence d'un probable syndrome méningé qui est dû à :

1. Une hémorragie méningée

2. Une méningite (virale, bactérienne ou parasitaire).

B. Chez un patient présentant de la fièvre (en dehors d'un syndrome méningé) on pensera à :

1. Une simple rhino-pharyngite, une grippe.

2. Si la douleur est ressentie au-dessus ou sous un œil et que la pression de la zone douloureuse aumente la douleur, on pensera à une sinusite aiguë.

3. Par ailleurs, toutes les infections ( index, Maladies infectieuses) avec de la fièvre peuvent engendrer des céphalées.

C. Si la personne a récemment subi un traumatisme crânien les céphalées sont dues à :

1. La contusion immédiate à l'endroit du traumatisme.

2. Si, après un intervalle de quelques heures à deux jours sans symptôme, le patient présente des céphalées associées à une obnubilation (le patient ne sait plus où il est, ni quel jour on est), on craint un hématome extra dural.

3. Si l'obnubilation et la céphalée apparaissent plusieurs mois après le traumatisme, il s'agit peut-être d'un hématome sous dural.

4. Si on note des douleurs plutôt cervicales, on recherchera une fracture ou une entorse des vertèbres cervicales.

D. Si l'examen neurologique retrouve des anomalies qui correspondent à des zones précises « de commande » au niveau du cerveau (par exemple une hémi-plégie de survenue brutale), on pensera alors à un accident vasculaire cérébral.

E. Des lésions reconnaissables au niveau des yeux sont parfois en cause.

1. Le glaucome aigu : la douleur est ressentie du côté d'un œil, qui est rouge et présente une pupille dilatée (une « mydriase ») ; le globe oculaire est dur à la pression.

2. Les kératites, les conjonctivites.

F. Si ces douleurs partent des dents on recherchera :

1. Une carie, un abcès dentaire

2. Une douleur liée à la croissance des dents de sagesse

1 التعليقات:

Anonyme a dit…

Indépendamment de la réception quotidienne de traitements de dépôt injectables oraux ou futurs, ceux-ci nécessitent des visites de soins de santé pour le traitement et le suivi de la sécurité et des interventions. Si les patients sont traités suffisamment tôt, avant que le système immunitaire ne soit gravement endommagé, l'espérance de vie est proche de la normale tant que le traitement est réussi. Cependant, lorsque les patients arrêtent le traitement, le virus rebondit à des niveaux élevés chez la plupart des patients, parfois associés à une maladie grave parce que j’ai vécu cela et même à un risque accru de décès. Le but de «guérir» est en cours, mais je crois toujours que mon gouvernement a fabriqué des millions de médicaments antirétroviraux au lieu de trouver un traitement. pour le traitement et la surveillance en cours. Les ARV seuls ne peuvent pas guérir le VIH, car parmi les cellules infectées se trouvent des cellules de mémoire CD4 à très longue durée de vie et éventuellement d'autres cellules qui agissent comme des réservoirs à long terme. Le VIH peut se cacher dans ces cellules sans être détecté par le système immunitaire du corps. Par conséquent, même lorsque le TARV bloque complètement les infections ultérieures de cellules, les réservoirs qui ont été infectés avant le début du traitement persistent et le VIH rebondit si le traitement est interrompu. «Cure» pourrait signifier une guérison par éradication, ce qui signifie débarrasser complètement le corps du virus réservoir ou une guérison fonctionnelle du VIH, où le VIH peut rester dans les cellules du réservoir mais le rebond à des niveaux élevés est empêché après une interruption du traitement.Dr Itua Herbal Medicine me permet croit qu'il existe un espoir pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, de la schizophrénie, du cancer, de la scoliose, de la fibromyalgie, de la toxicité de la fluoroquinolone
Syndrome Fibrodysplasia Ossificans Progressiva.Fatal Familial Insomnia Factor V Leiden Mutation, Maladie de Epilepsy Dupuytren, Desmoplastic, petite tumeur à cellules rondes, Diabète, Maladie de Creutzfeldt-Jakob carcinome.Asthme, Maladies allergiques.Hiv_Aids, Herpe, Copd, Diabete, Hépatite, j'ai lu en ligne à son sujet comment il a guéri Tasha et Tara, je l'ai donc contacté à drituaherbalcenter@gmail.com et a même parlé de whatsapps +2348149277967 alors croyez-moi que c'était facile J'ai bu son médicament à base de plantes pendant deux semaines et j'ai été guéri comme ça, le Dr Itua n'est-il pas un homme merveilleux? Oui il l'est! Je le remercie beaucoup et je vous conseillerai donc si vous souffrez de l'une de ces maladies. Veuillez le contacter, c'est un homme bien.

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