LES RÈGLES ANORMALES

LES RÈGLES ANORMALES

Ménorragies, métrorragies et hémorragies lors de la grossesse
I. IL EXISTE UNE HÉMORRAGIE GÉNITALE LORS D'UNE GROSSESSE
II. IL N'EXISTE PAS DE GROSSESSE CONNUE OU SUSPECTÉE

Ménorragies, métrorragies et hémorragies lors de la grossesse.

Les règles anormales, ou plutôt les hémorragies génitales n'ont pas les mêmes causes en présence ou en l'absence de grossesse.

En l'absence de grossesse, on distingue deux types d'anomalies des règles :
- les ménorragies qui correspondent à une augmentation de la quantité et de la durée des règles survenant avec une périodicité normale,
- les métrorragies qui ressemblent à des règles très fréquentes : ce sont en fait des hémorragies génitales survenant en dehors de la présence des règles.

Il faut savoir que dans la grande majorité des cas l'examen du gynécologue : toucher vaginal et examen au spéculum (instrument permettant la visualisation du vagin et du col de l'utérus), est indispensable (de façon plus circonspecte au troisième trimestre de la grossesse). D'autres examens peuvent être réalisés, les plus souvent utilisés étant l'échographie, les tests de grossesse (urinaires et surtout le dosage des BêtaHCG dans le sang), l'hystérographie (visualisation par radiographie de l'intérieur de l'utérus après y avoir injecté un produit opaque aux rayons X) et enfin les frottis et les biopsies.

I. IL EXISTE UNE HÉMORRAGIE GÉNITALE LORS D'UNE GROSSESSE.

Cette grossesse est connue ou suspectée, en raison de la présence de nausées, d'une tension des seins, en l'absence de contraception, ou à partir d'un test de grossesse urinaire positif (un test négatif n'est pas fiable et peut correspondre à une grossesse), d'un dosage des BêtaHCG dans le sang, beaucoup plus fiable, ou d'une échographie.
• En l'absence de grossesse, reportez-vous au paragraphe II.

A. Les pertes sanguines ont lieu au début de la grossesse (surtout dans le premier trimestre).
• Dans le cas contraire, voir B. L'échographie est alors l'examen indispensable.

1. L'échographie montre un œuf normalement placé dans l'utérus. Il s'agit d'une menace de fausse couche dont l'évolution peut être une grossesse qui se prolonge normalement, ou une fausse couche.

2. L'échographie montre l'absence d'œuf dans l'utérus. Il peut s'agir d'une grossesse extra utérine.

B. Les pertes de sang ont lieu en fin de grossesse (surtout dans les trois derniers mois) :

1. Il s'agit de sang rouge, sans douleur abdominales, les pertes de sang étant récidivantes. Il s'agit probablement d'un placenta praevia (insertion trop basse du placenta).

2. Il s'agit de sang noir, avec des douleurs abdominales, un contracture de l'utérus découverte par le gynécologue, une poussée d'hypertension artérielle : on pense à un hématome rétro placentaire.

II. IL N'EXISTE PAS DE GROSSESSE CONNUE OU SUSPECTÉE.

A. Il s'agit de règles trop abondantes, on parle de ménorragies.
• Dans le cas de règles trop fréquentes, en fait de pertes sanguines entre les règles, on parle de métrorragies, voir B.

1. Ces règles trop abondantes ne sont pas particulièrement douloureuses. Le toucher vaginal du gynécologue note un gros utérus bosselé, il s'agit alors probablement d'un fibrome de l'utérus.

2. Ces règles sont douloureuses, à partir du troisième jour généralement. il s'agit alors probablement d'une endométriose.

3. Un stérilet peut également entraîner des ménorragies, il faut alors le retirer.

B. Les règles sont trop fréquentes : on parle de métrorragies.

1. Ces métrorragies ont lieu pendant la puberté.
a. L'examen gynécologique est normal. Il s'agit très probablement d'une métrorragie fonctionnelle due à une immaturité du système de commande de l'ovulation, sans gravité. Il s'agit de la cause de loin la plus fréquente des métrorragies de la puberté.
b. Il existe une fièvre et des pertes gynécologiques purulentes, on pense à une salpingite.
c. Le gynécologue décèle une tumeur bourgeonnante et dure dans le vagin. Il peut alors s'agir d'une tumeur maligne du vagin (très rare).
2. Ces métrorragies ont lieu à l'âge adulte, avant la ménopause.
a. Les métrorragies sont déclenchées par les rapports sexuels, elles sont généralement discrètes et indolores. L'examen au spéculum retrouve une tumeur bourgeonnante, mais souvent un frottis cervical et un examen plus poussé du col de l'utérus seront nécessaires. On pense à un cancer du col de l'utérus.
b. Des métrorragies identiques sont souvent provoquées par une simple cervicite et l'examen par le gynécologue fera la différence surtout s'il existe des pertes gynécologiques purulentes et des troubles urinaires.
c. Il existe une fièvre élevée, des douleurs pelviennes, surtout quand le gynécologue « mobilise » l'utérus. Il existe des pertes lourdes (des leucorrhées) : on pense alors à une salpingite.
d. Il existe une petite métrorragie en milieu de cycle, 14 ou 15 jours après la fin des règles, associée à une irritabilité, une tension des seins, des douleurs pelviennes et des leucorrhées : on pense à un syndrome intermenstruel lié à l'ovulation.
e. Dans certains cas il peut exister des métrorragies liées à la contraception par la pilule œstro-progestative ou progestative.
f. Le toucher vaginal sent une masse sur le côté de l'utérus et qui en est indépendante, l'échographie retrouve une masse d'un ovaire. Il peut s'agir d'un kyste de l'ovaire, qu'il soit fonctionnel (s'il disparaît après les règles) ou non. Il peut également s'agir d'un cancer de l'ovaire.
g. Il peut exister (rarement) une perte de sang après les premiers rapports sexuels, sans aucune conséquence. On parle d'« hémorragie de la défloraison » .
h. Des métrorragies aux alentours de 45 - 50 ans, associées à une sensation de tension des seins, de « gonflement » diffus, de nervosité, font penser qu'il s'agit d'une préménopause avec insuffisance de corps jaune (on parle d'« insuffisance lutéale»), l'examen du gynécologue ayant éliminé les autres causes.

3. Ces métrorragies surviennent après la ménopause, cette dernière se définissant comme l'arrêt des cycles pendant plus d'un an.
a. Les métrorragies sont faites de sang noir, associé à des pertes blanches (leucorrhées), surtout en présence de facteurs de risque comme l'obésité, l'hypertension artérielle, le diabète : on pensera à un cancer du corps de l'utérus. Ce sont les examens complémentaires particuliers qui feront le diagnostic car le toucher vaginal et l'examen au spéculum seront le plus souvent normaux. L'hystéroscopie ou le curetage avec analyse histologique est donc indispensable. Ce diagnostic doit toujours être envisagé en cas de métrorragies à l'âge de la ménopause.
b. Les métrorragies après la ménopause avec un examen du gynécologique normal peuvent également être dues à une atrophie de l'endomètre. Les examens complémentaires suscités seront donc prescrits par le médecin pour s'assurer qu'il n'y a pas de lésions malignes.
c. L'examen au spéculum montre des parois du vagin blanchâtres et saignotantes au contact : il s'agit d'une probable vaginite « sénile ».
d. La prise d'un traitement contenant des œstrogènes peut induire des métrorragies, par exemple le traitement de prévention de l'ostéoporose à l'âge de la ménopause.

1 التعليقات:

Anonyme a dit…

Indépendamment des thérapies de dépôt injectables orales ou futures, elles nécessitent des visites médicales afin de prendre des médicaments et de surveiller la sécurité et l’intervention. Si les patients sont traités suffisamment tôt, avant que le système immunitaire ne soit gravement endommagé, l'espérance de vie est proche de la normale tant que le traitement est réussi. Cependant, lorsque les patients arrêtent le traitement, le virus rebondit à des niveaux élevés chez la plupart des patients, parfois associés à une maladie grave parce que j’ai vécu cela et même à un risque accru de décès. Le but de «guérir» est en cours, mais je crois toujours que mon gouvernement a fabriqué des millions de médicaments antirétroviraux au lieu de trouver un traitement. pour le traitement et la surveillance en cours. Les ARV seuls ne peuvent pas guérir le VIH, car parmi les cellules infectées se trouvent des cellules de mémoire CD4 à très longue durée de vie et éventuellement d'autres cellules qui agissent comme des réservoirs à long terme. Le VIH peut se cacher dans ces cellules sans que le système immunitaire du corps ne le détecte. Par conséquent, même lorsque le traitement antirétroviral bloque complètement les cycles d'infection ultérieurs de cellules, les réservoirs qui ont été infectés avant le début du traitement persistent et le VIH rebondit si le traitement est interrompu. «Cure» peut signifier une guérison par éradication, ce qui signifie débarrasser complètement le corps du virus réservoir ou une guérison fonctionnelle du VIH, où le VIH peut rester dans les cellules du réservoir mais le rebond à des niveaux élevés est empêché après une interruption du traitement.Dr Itua Herbal Medicine me permet croit qu'il existe un espoir pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, de la schizophrénie, du cancer du poumon, du cancer du sein, du lupus, de la maladie de Lymne, du psoriasis, du cancer colo-rectal, du cancer du sang, de la prostate, siva.Facteur familial familier V, mutation de Leiden, épilepsie Maladie de Dupuytren, tumeur Desmoplastique à petites cellules rondes Diabète, maladie cœliaque, maladie de Creutzfeldt – Jakob, angiopathie amyloïde cérébrale, ataxie, arthrite, scoliose latérale amyotrophique, tumeur cérébrale, fibromyalgie, toxicité de la fluoroquinolone
Syndrome Fibrodysplasie osseuse ProgrèsSclérose, maladie d'Alzheimer, carcinome corticosurrénalien Mononucléose infectieuse. .Asthme, Maladies allergiques.Hiv_Aids, Herpe, Copd, Glaucome., Cataractes, Dégénérescence maculaire, Maladie cardiovasculaire, Maladie du poumon.Augmentation de la prostate, Ostéoporose.Alzheimer,
Démence (rougeole, tétanos, coqueluche, tuberculose, poliomyélite et diphtérie), diarrhée chronique,
HPV, Tous types de cancer, diabète, hépatite, j'ai lu sur lui en ligne comment il guérissait Tasha et Tara, je l'ai donc contacté à l'adresse drituaherbalcenter@gmail.com /. même parlé sur whatsapps +2348149277967 croyez-moi, il était facile j'ai bu son médicament à base de plantes pendant deux semaines et j'ai été guéri juste comme ça, le Dr Itua n'est-il pas un homme étonnant? Oui il l'est! Je le remercie beaucoup et je vous conseillerai donc si vous souffrez de l'une de ces maladies. Veuillez le contacter, c'est un homme bien.

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